Club l'Entrepôt - Bordeaux

Nicolas C.

Indiqué comme ouvert un lundi soir alors que c'est fermé et qu'il a fallu prendre la voiture dans la banlieue paumée de Bordeaux pour s'en rendre compte... Pas fameux comme expérience, dommage, ça a l'air sympa quand c'est ouvert. Quand c'est fermé le quartier - zone industrielle déserte - est bien badant comme il faut, ne vous y perdez pas !

Mahault

Lieu plutôt SYMPA
mais expérience gâchée par un service "d'agents de sûreté" excessivement AGRESSIFS et qui REFUSSENT D'AIDER ou de laisser quelqu'un aider une personne VRAIMENT mal en point.
Quand on méprise les teuffeurs et les gens en général on fait pas ce genre de métier merci.

Soirée scary collective le 31 octobre, nous étions 3 demoiselles et un monsieur (ce soir là parfaitement sobre et libre de toute substances, vraiment là que pour le plaisir de danser jusqu'aux courbatures), calmes, souriants, polis et coopératifs (non vraiment on était vraiment des bisounours, y a des soirs ou des équipes où on est plus couillons, moins calmes, moins cadrés. Là on étaitirréprochables). On se pointes vers 00h15, il y a encore très peu de monde, pas de queue pour entrer.
La dame (avec minerve) qui gerait les ventes de billets et celle qui les récupérait : ADORABLES, drôles, gentilles et souriante, de même pour les barmans auprès desquelson a pris des softs à la qualité correcte (nous n'avons pas eu besoin de vestiaire donc pas d'avis sur cette partie).

Mais cependant les agents de sécurité, déjà à l'entrée pour la fouille, alors qu'on se présente devant eux et qu'on essaye pas de tracer vers l'entrée, sont brusques et menaçants (rentrent tres vite/brusquement dans votre espace personnel, à la limite du contact, pour vous faire reculer sans semonce), claquent des ordres courts et minimalistes à peine articulés et attention à ne pas les faire répéter. Bon ok, c'est à chier comme accueil et il y a des gens sensibles à qui je me note de ne pas faire subir cette expérience, mais en soit ça fait un peu parti du jeu pour nous encourager (nous menacer de) nous tenir à carreaux, ok pas grave on enchaine.

Très bonne soirée à l'intérieur, on est ravis.

Sortie tranquille, toujours quatre, vers 2h30, on rentre se coucher tôt, on s'est trop refroidi sur la terrasse de la boîte pour repartir. Encore une fois on est calmes, on parle joyeusement mais on ne cris pas.
Dans l'enceinte on aperçoit une demoiselle étalée sur le ventre et une partie du visage dans l'herbe humide au pied d'une voiture, cachée dans l'ombre assez stratégique d'un panneau. On s'arrête, on jauge, on hésite. Elle ne bouge vraiment pas, elle en crop top ou en soutif, dans un position qui tient plus de la gravité que du recroquevillement.
On s'approche, on laisse de l'air, et on laisse l'infirmière (no vraiment, diplômée et expérimentée) checker si tout va bien. Elle relève la tête soucieuse. Non ça ne va pas bien, on évoque les pompiers en option, elle va essayer de la placer dans une position plus secure et nous envoie prévenir la tente des videurs voir ce qui est possible. On fait trois pas et ils viennent à notre rencontre, ils avaient l'oeil sur nous. "Vous la connaissez. Non. Alors sortez, y a rien à voir" "Elle est infirmière, elle sait ce qu'elle fait" " C'est une redescente, y a rien à voir, faut partir" on dit le mot pompier et l'intimidation monte d'un cran, ils commencent à nous faire remparts de leurs corps. "Pas de pompiers, y a pas besoin" "Je pense qu'il y a besoin ou au moins que quelqu'un doit rester auprès d'elle surveiller" "Alors reste mais une seule personne, on veut pas d'attroupement, les autres partez". On finit par négocier que l'infirmière et sa chauffeuse reste sur place, moi je suis obligée de reculer et raccompagnée silencieusement par le garde sur chaque pas jusqu'à la sortie ou il me lache enfin. Le garçon avec nous tente de tenir un peu tête (toujours pas de mots, il ne recule juste pas tout de suite quand le videur vient lui respirer sur le front) mais pour arrêter la montée en tension que les videurs nous imposent il me rejoint vite finalement. "Filez, pas de pompiers".
On est inquiets, pour cette inconnue, pour nos amies restées en mauvaise compagnie. On leurs laisse des messages pour assurer qu'on peut être un back up si besoin. On rentre. 5h20 du mat enfin un message "On vient de rentrer mais ça a vraiment été compliqué, je te raconterai"

Paul Maurel

On as passer une bonne soirée techno/trance entre pote franchement bonne vibes c'etais bien 🙂 il y aurai des petits haut parleur en terrace pour avoir le son de dans j'aurai mis 5 stars ?
Très bien reçu à la billetterie !

mathieu bird

Je dois leur mettre une étoile malgré le fait que j'aime beaucoup ce club. Pourquoi ? Je suis quelqu'un qui met des bouchons d'oreilles en soirée. Je suis allé à l'entrepôt 2 fois en 3 semaines d'intervalles et les deux fois, aucun bouchons au vestiaire, même payant. Je rappelle à l'équipe là-bas que pouvoir proposer des bouchons d'oreilles est OBLIGATOIRE pour un établissement musical... En espérant que mon commentaire les fera réagir parce qu'à ce niveau de foutage de gueule ce n'est pas normal. À la limite une fois ça peut arriver, encore que normalement vous êtes une équipe organisée... mais alors des semaines entières sans que vous en commandiez pour vos clients, c'est vraiment pathétique. Sinon le son et les dj sont très lourds la plupart du temps.

Cloé Costard

FAITES UN EFFORT SUR LA PROPRETÉ C’EST UNE HONTE BORDEL
Les toilettes sont inondées (3cm d’eau je n’exagère pas) , pas de papier toilette, personne ne passe nettoyer ne serait-ce qu’une fois par heure, les poubelles ne sont pas flagrantes, l’aération pas ouf
LE HANGAR NOUS MANQUE

Jessie Levante

Franchement c'est dommage
De 15 a 20 euros sans conso pour un local qui preque vide , et avec de dj de deuxième catégorie, j'appelle pas ça une bonne soirée, j'appelle ça du vol
On aurait de du Nico moreno, astrix , slhomo, Amelie lens rebeka , Fátima ahí... Je comprendrais que le tiquet d'entre soit élève mais déjà le club se trouve a perpetes de la ville et puis non les DJs pressent et l'endroit si éloigné ne justifie pas le pris sans consommation

Raphaelle Baudequin

Encore une soirée où nous ne pouvons pas dormir, il est 3h du matin et la musique est à fond ! Comment est ce possible ? Pensez à ceux qui sont autour.

Raphaelle Baudequin

On habite pas loin et je peut vous dire qu’on appellera la police chaque fois s’il le faut puisque les normes sonores ne sont pas respecter. Chaque week-end ça recommence nous ne pouvons pas dormir.